Johnny, Twist again !
Deux vieux dessins de derrière les fagots resortis pour l'occasion.
Johnny Hallyday devient un exilé fiscal et part en Suisse, puis essaie de prendre la nationalité Belge et finalement se réfugie à Los Angeles. Pas mal pour un héros de la République.
En janvier 2016, Johnny Hallyday rend hommage aux dessinateurs assassinés de Charlie, qui ne l'aimaient pas du tout et le brocardaient sans cesse.
Des politiques incultes et opportunistes parlent de funérailles nationales et les comparent à celles de Victor Hugo… Pauvres zozos sans goût musical, ni culture…
Il a salopé : "I got a Woman" de Ray Charles, "Hey Joe" de Jimmy Hendrix, "Black is black" de Los Bravos, "The House of the rising sun" de The Animals, "Tutti Frutti" et 'Lucille"de Little Richard, "Heartbreak Hotel" d'Elvis Presley, "Memphis Tennessee" et " Johnny be goode" de Chuck Berry, "New Orleans" de Gary U.S. Bonds, "Blueberry Hill" de Fats Domino, "Don't Play That Song"de Ben E. King, "Girl"et "Got to Get You into My Life" des Beatles, "Respect"
de Otis Redding, "Let's Twist Again" de Chubby Checker, etc.
Écoutez les versions originales et celles de Johnny. Moi, j'ai fait ça à l'époque sur les radios et entre Ray Charles et Johnny, j'ai vite fait mon choix. C'est un plagiaire, il n'a jamais écrit un texte, ni une musique. Bête de scène, ça ne veut rien dire, c'est un produit marketing, un forain. Façon de dire que les motos sur scène, les feux d'artifice, les mains géantes qui s'ouvrent et les entrées en scène en hélico, c'est du cirque, du grand Guignol, pas de l'art.
Réveillez-vous.