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PIERRE BALLOUHEY
Derniers commentaires
26 mars 2008

Boycott des Jeux de Pékin

j

Dessin publié pleine page en couleurs dans le valeureux Mémorial de l'Isère
© Tous droits réservés. Ces dessins ne peuvent pas être publiés, en aucune façon, sans l'autorisation écrite de Pierre Ballouhey
© Copyright. Not to be reprinted in whole or part reproduced in any form without written permission from Pierre Ballouhey

Commentaires
C
Kaùizole...Nous avons les mêmes lectures tout en ne dédaignant pas la relecture de l'Iliade et de l'Odyssée
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K
Je ne connais pas l'origine du premier mais pour le second, c'est du pur solognot (je n'ai plus en tête le mot à peu près équivalent pour les hommes et flemme de chercher). C'est marrant comme l'on dérive de l'effet des délocalisations à l'origine des Olympiades... Je ne reviendrais pas sur l'exclusion des femmes des affaires de la Cité et tout ce qui occupait alors les hommes.<br /> Mais je rassure Circé : je me plonge toujours avec délices dans les récits mythologiques, grâce notamment à "la mythologie" (Edith Hamilton, Marabout) qui est dans mon "cabinet" de lecture...
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B
Dame Circé est allé chercher dans son Robert ou sa mémoire le mot "oint" à propos des athlètes de la Grèce antique nus et oints. Ce mot m'a toujours fait marrer quand les curés de mon enfance le prononcaient avec onction. Un peu à cause des blagues de Ouin-ouin que me racontait Malnuit en tordant la bouche. C'est le héros, enfin, le Toto suisse. D'ailleurs, Jésus-Christ,la fameuse divinité connue depuis la nuit des temps, l'a échappé belle. Christ vient du grec Kristos, qui veut dire "oint". Heureusement que les Pères de l'Église n'ont pas eut l'idée de traduire ça en français. Fiasco marketing. Flop du charisme. Quel carrière aurait pu faire un Dieu nommé Jésus-Oint. Un prénom espagnol et un nom qui est la moitié d'un nom grotesque suisse. Le corps et le sang du Ouint ? Le Sacré-Cœur du Ouint ? Le Ouint Roi ? Cette secte n'aurait pas tenu dix ans. Vous vous rendez compte? 2000 ans de paganisme et de mythologie grecque et latine, avec tous ces dieux et ces déesses vicelards à souhait. Les nymphettes, les satyres et tout ces trucs magiques. Zeus qui nous ferait péter la foudre à la gueule, le matin et se transformerait en cygne, le soir, pour sauter une pauvre gourdasse. Et avec Circé qui nous transformerait en cochon sans cesse. Ça, c'est de la religion marrante. Le rêve. Au lieu de tout ça, on a Benoit XVI. Bravo.<br /> Ballouhey
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C
Parfaitement exact !<br /> Et comme tout grec qui se respectait, l'amour parfait n'existait qu'entre homme, la femme ne servant qu'à procréer...<br /> Ceci dit, si j'ai choisi Circé comme pseudo, ce n'est pas pour ravauder les spartiates ou astiquer les armures de ces messieurs.<br /> Alors Cher Pierre tout magnifique homme en pleine maturité que vous soyez, même ceint d'une chevelure neigeuse et d'un beau collier de barbe de couleur idoine, craignez mon courroux...<br /> Un gentil petit goret à mes pieds, ...<br /> Zut, je m'emballe, la mythologie, qui s'y intéresse encore.<br /> Et bien tant pis, je vais me consoler avec Maurice, pas le poisson rouge, non, le votre!
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B
Oui, j'ai bien vu depuis de très belles lurettes les zigounettes des costauds de la Grèce antique sur de nombreux pots, un petit peu cassés, exposés depuis la nuit des temps dans les Musées. Mais que Circé et Bédé sachent que pendant les ébats musclés des éphèbes, les dames restaient assises par terre dans leur gynécée, loin du stade, à trier des lentilles, tricoter des passe-montagnes ou ravauder des spartiates. "Si les esclaves et les Barbares peuvent assister aux Jeux, dit Pausanias, qui était un grand savant, les femmes en sont exclues". Pas question de zieuter de la zigounette huilée. La femme antique était ainsi, une brave fille. Certaines devaient tricher un petit peu.
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